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Lettres Tahitiennes --- Book Review and Thoughts On Rousseau's View Of The City (French)

Dans le roman épistolaire écrit par Joséphine de Monbart au 18ᵉ siècle, Lettres Tahitiennes, elle présente le choc entre les deux cultures : l’occidentale et la Tahitienne. Ce roman est inspiré par Rousseau et son Discours sur l’inégalité. La comparaison entre les Tahitiens et les Français permet à Monbart de faire la critique de sa propre société. La chute de l’île de Tahiti, un paradis, arrive rapidement à cause de l’introduction des Européens. Cependant, un Tahitien, Zeïr, qui symbolise l’homme dans l’état de nature, vient à Paris, mais la ville l'a corrompait. Dans cet essai, on analysera si la ville moderne est la source de tous les maux, et si personne ne peut échapper à la corruption qu'il apporte. Premièrement, on trouvera les maux de la la ville qui peuvent dégénérer les gens. Dans un deuxième temps, on s’interrogera si l’espoir d’humanité existe. Finalement, on trouvera le milieu idéal où on peut fuir les vices.



Rousseau et Monbart dépeignent une image de la ville moderne absente des mœurs où les désirs corrompent les hommes. Paris, selon les deux, a trop de spectacles ---- ‘Paris, ville célèbre, ville de bruit, de fumée et de boue.’ Certes, Paris a un enchantement perpétuel, qui attire Zeïr et qui lui donne beaucoup d’enthousiasme. Mais c’est exactement ce tumulte qui corrompt la vertu des peuple. Rousseau observe que ‘plus ils se rassemblent, plus ils se corrompent’. De même, Zeïr, qui représente un opinion de Monbart, reflet que quand il adopte les mœurs d’Europe, ‘plaisirs grossiers séduisîtes ma raison et égarâtes ma jeunesse.’(p.122) Par exemple, Zeïr commence à cacher ses amants à Zulica et se plait avec les plaisirs physiques et matérialistes. En plus, il ne suit que son désir, et développe la honte vers son amant d’âme. Pourtant, ce n’est pas la chute d’une personne, c’est la maladie de la société. Rousseau pense que ‘Paris, [est une] ville où les femmes ne croient plus à l’honneur ni les hommes à la vertu.’ Exprimant les mêmes idées, Monbart illustre cela avec le personnage Mme. Germeuil qui présente toutes les horreurs de la jalousie. Elle garde son amant de jamais voit Julie, sa amante rivale, qui est emprisonné par elle. Les femmes ont des beautés impérieuses, néanmoins, elles sont vaines, jalouses et exigeantes. Comme résumer par le personnage St. Val, ‘Paris est le tombeau des mœurs, et de presque toutes les vertus ; devoir, honneur, génie, tout y est moqué (p.66)’. Monbart écrit la meme critique donné par Rousseau: la ville corrompt les mœurs des hommes.

Malgré Monbart partage l’idée de Rousseau sur la nature dégénérée de la ville, elle est plus optimiste que Rousseau sur l’humanité. Pour Rousseau, ‘Les villes sont le gouffre de l’espèce humaine.’ Mais ce point de vue est contredit par Monbart qui illustre que le pouvoir de l’amitié est l’amour. ‘L’amitié me donne le droit de vous avertir du danger et ma propre expérience m’en fournit les moyens.’ (p.66) Zeïr rencontre son ami, St. Val, qui l'informe du danger, et lui donne des conseils. Comme exprime par Zeïr, ‘l’amitié sera toujours la plus chère de mes affections.’ De plus, au moins une des femmes, Zulica, peut éviter à la méchanceté de la ville. Zulica incarne la rectitude morale plus parfaite que Zeïr, qui avec sa tendresse incomparable, pardonne son amant sans jugement. Elle a toujours de la vertu, “son cœur est fait pour conserver le souvenir des bienfaits en perdant celui des offenses”(p.123). Ni le viol de chef d’Anglais, ni le trahison de ses compatriotes peuvent changer sa moralité forte. De plus, on ne peut négliger les personnages qui reflètent les maux de la ville: Johnston a compris ses erreurs d'enlèvement de Julie; et Mme. Germeuil dit que Zeir l’avait rendu innocente avant de mourir. Monbart croit qu’il y a encore des elements positifs en ville et que la chance de rédemption existe.


Même s'il existe des différences entre Rousseau et Monbart sur l’espoir dans la ville, ils partagent l’idée que la campagne est un meilleur choix que la ville. Rousseau écrit que ‘c’est toujours la campagne qui fournit à ce renouvellement.’ Également, c’est à la campagne que Zeïr a retrouvé un esprit paisible. De plus, il trouve l’innocence et les plaisirs de l’environment qui lui manquent dans la ville (p.57). De même, la campagne est où Zeïr vient de vivre avec Zulica et St.Val après qu’il dit adieu à la ville. La campagne est le juste milieu entre Tahiti, le paradis perdu, et Paris, la ville de vice.


En conclusion, Monbart est inspirée par beaucoup de les idées Rousseauistes : la ville est la capitale de mal où il y a ni honnêteté ni honneur. Les désirs dégénéraient les hommes qui ses approchent. Mais Monbart a l’espoir à se sauver soi-même, par la douce l’amitié ou l’amour. Pour éviter le mal de la ville, cependant, les deux auteurs croient que la campagne est le meilleur milieu pour retrouver les mœurs et le bonheur.

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