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Le Mariage de Loti --- Book Review and thoughts on the Colonizer's Gaze (French)

Yvonne Lian, 2021


Le Mariage de Loti est un roman semi-autobiographique du 19e siècle qui détaille la rencontre de Loti, un marin français, et de Tahiti, une île colonisée qu’il fantasme toujours comme la destination de tous ses rêves. Pendant son séjour sûr l’île, il approfondit sa connaissance de la culture tahitienne par sa relation avec Rarahu, une jeune femme indigène, dont il tombe amoureux. ‘La petite sauvage,’ surnom donné par Loti à Rarahu, démonte le sentiment de Loti qu’elle incarne toutes les caractéristiques primitives et curieuse de Tahiti. Mais, est-ce que la sauvagerie est le véritable caractère de Rarahu? Ou est-ce que c’est seulement l’imagination de Loti, influencée par son rêve exotique et mystérieux de Tahiti ? On peut observer que les colonisateurs voient les femmes de Tahiti comme les créatures aimantes qui symbolisent Tahiti. C’est à travers elles qu’ils veulent accéder à cette culture ancienne et mystérieuse. Mais, on va voir que l’image des Tahitiennes anciennes et mystérieuses est créée artificiellement par le regard des colonisateurs. Les femmes doivent correspondre à cette impression fixe de Tahiti : barbare et belle, et surtout, ‘naturelle.’ Sinon, les colonisateurs les contraignent à retrouver ces caractères. Premièrement, on voit que les femmes tahitiennes ont des éléments qui évoquent le passé mythique. En mème temps, les femmes ne restent que les créatures dans la nature, elles développent des aspects civilisés. Finalement, on voit que le rêve est projeté sur les femmes par les colonisateurs et que la sauvagerie est construite. Premièrement, les femmes sont en accord avec le rêve occidental par leurs apparences exotiques et leurs caractères sauvages. À cause des histoires racontées par son frère, bien que Loti n’ait jamais visité Tahiti lui-même, il croit que Tahiti est ‘La nouvelle Cynthère,’ l’île de l’amour, l’île dans l’âge

d’or ou la civilisation est loin. Ce mythe, exotique est sauvage, est le rêve de Loti depuis son enfance. Lorsqu’il arrive enfin sur l’île, il est heureux de constater que sa petite femme indigène, Rarahu, lui rappelle la beauté classique, mais exotique. Il dit que ‘Sa poitrine était pure et polie, ses bras avaient une perfection antique.’ (p.53) ‘Une perfection antique’ peinte la femme comme une sculpture gréco-roman extraordinaire et comme une déesse imaginée, idéale et désirable. Elle n'est que la beauté classique occidentale, mais aussi des marques indigènes et exotiques. ‘Autour de ses chevilles, de légers tatouages bleus, simulant des bracelets... il y avait quelque chose en elle qui ne pouvait se mieux définir que par ces deux mots: une grâce polynésienne.’(p.54) Cette ‘grâce polynésienne’ de Rarahu trouve ses racines dans la culture tahitienne. Les tatouages soulignent son exotisme et représentent qu’elle incarne cette culture ancienne et mythique. En plus, les personnages féminins, primitifs et sauvages, correspondent au rêve exotique. Loti écrit que ‘Rarahu et Tiahoui étaient deux insouciantes et rieuses petites créatures qui vivaient presque entièrement dans l'eau de leur ruisseau, où elles sautaient et s'ébattaient comme deux poissons-volants.’(p.56) Cette phrase crée l’image qu’elles vivent un rêve dans le jardin d’Éden. Elles sont comparées à des ‘petites créatures insouciantes,’ et à des ‘poissons-volants,’ des bêtes sauvages qui vivent dans une nature merveilleuse. En bref, toutes ces descriptions dépeignent les femmes comme des créatures mythiques aux beautés exotiques et sauvages, correspondant au rêve occidental. Toutefois, les femmes ne restent pas des créatures sauvages et développent des aspects civilisés. La culture civilisée s’intruse sur l’île de Tahiti avec les invasions des Européens. C’est ainsi que les femmes tahitiennes ont certaines influences Européens. Tout d'abord, leurs apparences sont plus rapprochées des normes des femmes Européennes. Après avoir déménagé d'île de la nature à la capitale, l’île pleine d’influence Européen, Loti exprime que ‘[Rarahu] était devenue plus pâle, à l'ombre, en vivant de la vie citadine.’(p.127) La peau foncée, qui fait partie de l’image exotique and sauvage de Rarahu, est ‘devenue plus pâle,’ la couleur de peau des

femmes élégantes de la civilisation. Comme expliqué par Loti, ‘la vie citadine’ est à origine de ce changement. Les femmes ne vivent pas dans la nature, embrassé par le soleil, mais dans des maisons à la ville civilisées. D’ailleurs, Loti observe que ‘Sans le léger tatouage de son front, sur lequel les autres la raillaient et que moi j'aimais, on eût dit une jeune fille blanche.’ (p.127) La disparition des tatouages, symbole de leur tradition, souligne que Rarahu a perdu sa sauvagerie et s’est transformées en une ‘jeune fille blanche.’ En outre, les actions des femmes Tahitienne subissent l’influence des Européens. ‘ [Rarahu] portait une toilette nouvelle, une belle tapa de mousseline blanche à traîne qui lui donnait fort grand air; elle faisait les honneurs de chez elle avec aisance et grâce, -- s'embrouillant un peu par instants, et rougissant après, mais toujours charmante.’(p.117) Dans cette scène, Rarahu accueille une grande réception chez elle pour célébrer leur déménagement dans la capitale. Les nouveaux vêtements de Rarahu, fait d’une fabrique étrangère, suivent l'esthétique et le style des Européens. Elle n’est plus la créature sauvage qui joue vivant dans la nature, mais elle s’est transformée en une maîtresse de maison comme une femme civilisée. Non seulement elle sert les invités, mais elle le fait avec ‘aisance et grâce,’ comme une véritable citadine. Sa sauvagerie, en revanche, est cachée. En somme, l’apparence et les actions des femmes ‘sauvages’ sont susceptibles de changer en direction de la culture civilisée. Cette transformation des femmes n'intéresse pas les Européens, pour lesquelles le charme de Tahiti reste dans son primitivisme et son éloignement de la civilisation. En conséquence, les Européens, qui ont le regard colonial du rêve exotique, projettent cette image fantasmée sur les femmes et contraignent des femmes tahitiennes pour qu’elles restent ‘les petites sauvages.’ Cette idéologie contraint les actions des femmes à maintenir l’illusion. Au premier lieu, Loti met en garde Rarahu contre la civilisation : ‘Elle était assez civilisée déjà pour aimer quand je l'appelais

"petite sauvage", — pour comprendre que cela me charmait, et qu'elle ne gagnerait rien à copier la manière des femmes blanches (p.127).’ Loti complimente Rarahu avec le surnom ‘La petite sauvage.’ D'un côté, il signifie que son personnage sauvage est ce qu’il apprécie le plus chez elle. D'un autre côté, il souligne que des éléments européens n’est pas ce qu’il aime, et donc elle devrait se garder contre ces influences. Il lui déconseille ‘de copier la manière des femmes blanches’ et l’encourage à continuer à être ‘la petite sauvage.’ En position de domination, en tant qu'un mari et un colonisateur, il a le pouvoir de non seulement influence ce qu’elle doit penser, mais encore de contrôler ce qu’elle fait. Avant de partir pour l’Europe, Loti dit à Rarahu ce qu’elle doit faire après son départ : ‘ Va, loin de cette ville de Papeete; va vivre avec Tiahoui, ta petite amie, dans un district éloigné où ne viennent pas les Européens (p.199).’ Loti demande à Rarahu de vivre dans une île primitive dans l’intention de la séparer de la civilisation. D’une part il souhaite qu'elle jette les mauvaises influences des Européens ; d’autre part il espère qu'elle peut retrouver ses caractères exotique et sauvage dans la nature, comme les femmes dans son rêve. En somme, lorsque les indigènes subissent la transformation vers la civilisation européenne à cause du colonialisme, les colonisateurs limitent les femmes pour qu’elles restent ‘naturelle’ et ‘sauvage’ et pour garder toujours leurs propres rêves exotiques. Nous avons vu que les apparences et les caractères des femmes coïncident avec l’image de Tahiti exotique et sauvage. Quoique les similarités entre la réalité et le rêve, les femmes divergent du fantasme à plusieurs égards. Les apparences et personnages sont sous l’influence des Européens. En ayant le rêve exotique, les colonisateurs projettent cette image fantasmé sur les femmes et les obligent à rester ‘les petites sauvages.’ Afin de garder le rêve des colonisateurs, les colonisés sont forcés de préserver leur innocence et de s’éloigner de la civilisation. En

conclusion, il est vrai que les Tahitiennes ont des aspects d'exotisme, mais la sauvagerie est construite et forcée sur les femmes pour garder le rêve des Européens. L’essai Argumentatif, Sujet 2 Yvonne Lian

Prof. DeNino

Le Mariage de Loti est un roman semi-autobiographique du 19e siècle qui détaille la rencontre de Loti, un marin français, et de Tahiti, une île colonisée qu’il fantasme toujours comme la destination de tous ses rêves. Pendant son séjour sûr l’île, il approfondit sa connaissance de la culture tahitienne par sa relation avec Rarahu, une jeune femme indigène, dont il tombe amoureux. ‘La petite sauvage,’ surnom donné par Loti à Rarahu, démonte le sentiment de Loti qu’elle incarne toutes les caractéristiques primitives et curieuse de Tahiti. Mais, est-ce que la sauvagerie est le véritable caractère de Rarahu? Ou est-ce que c’est seulement l’imagination de Loti, influencée par son rêve exotique et mystérieux de Tahiti ? On peut observer que les colonisateurs voient les femmes de Tahiti comme les créatures aimantes qui symbolisent Tahiti. C’est à travers elles qu’ils veulent accéder à cette culture ancienne et mystérieuse. Mais, on va voir que l’image des Tahitiennes anciennes et mystérieuses est créée artificiellement par le regard des colonisateurs. Les femmes doivent correspondre à cette impression fixe de Tahiti : barbare et belle, et surtout, ‘naturelle.’ Sinon, les colonisateurs les contraignent à retrouver ces caractères. Premièrement, on voit que les femmes tahitiennes ont des éléments qui évoquent le passé mythique. En mème temps, les femmes ne restent que les créatures dans la nature, elles développent des aspects civilisés. Finalement, on voit que le rêve est projeté sur les femmes par les colonisateurs et que la sauvagerie est construite.

Premièrement, les femmes sont en accord avec le rêve occidental par leurs apparences exotiques et leurs caractères sauvages. À cause des histoires racontées par son frère, bien que Loti n’ait jamais visité Tahiti lui-même, il croit que Tahiti est ‘La nouvelle Cynthère,’ l’île de l’amour, l’île dans l’âge


d’or ou la civilisation est loin. Ce mythe, exotique est sauvage, est le rêve de Loti depuis son enfance. Lorsqu’il arrive enfin sur l’île, il est heureux de constater que sa petite femme indigène, Rarahu, lui rappelle la beauté classique, mais exotique. Il dit que ‘Sa poitrine était pure et polie, ses bras avaient une perfection antique.’ (p.53) ‘Une perfection antique’ peinte la femme comme une sculpture gréco-roman extraordinaire et comme une déesse imaginée, idéale et désirable. Elle n'est que la beauté classique occidentale, mais aussi des marques indigènes et exotiques. ‘Autour de ses chevilles, de légers tatouages bleus, simulant des bracelets... il y avait quelque chose en elle qui ne pouvait se mieux définir que par ces deux mots: une grâce polynésienne.’(p.54) Cette ‘grâce polynésienne’ de Rarahu trouve ses racines dans la culture tahitienne. Les tatouages soulignent son exotisme et représentent qu’elle incarne cette culture ancienne et mythique. En plus, les personnages féminins, primitifs et sauvages, correspondent au rêve exotique. Loti écrit que ‘Rarahu et Tiahoui étaient deux insouciantes et rieuses petites créatures qui vivaient presque entièrement dans l'eau de leur ruisseau, où elles sautaient et s'ébattaient comme deux poissons-volants.’(p.56) Cette phrase crée l’image qu’elles vivent un rêve dans le jardin d’Éden. Elles sont comparées à des ‘petites créatures insouciantes,’ et à des ‘poissons-volants,’ des bêtes sauvages qui vivent dans une nature merveilleuse. En bref, toutes ces descriptions dépeignent les femmes comme des créatures mythiques aux beautés exotiques et sauvages, correspondant au rêve occidental.

Toutefois, les femmes ne restent pas des créatures sauvages et développent des aspects civilisés. La culture civilisée s’intruse sur l’île de Tahiti avec les invasions des Européens. C’est ainsi que les femmes tahitiennes ont certaines influences Européens. Tout d'abord, leurs apparences sont plus rapprochées des normes des femmes Européennes. Après avoir déménagé d'île de la nature à la capitale, l’île pleine d’influence Européen, Loti exprime que ‘[Rarahu] était devenue plus pâle, à l'ombre, en vivant de la vie citadine.’(p.127) La peau foncée, qui fait partie de l’image exotique and sauvage de Rarahu, est ‘devenue plus pâle,’ la couleur de peau des


femmes élégantes de la civilisation. Comme expliqué par Loti, ‘la vie citadine’ est à origine de ce changement. Les femmes ne vivent pas dans la nature, embrassé par le soleil, mais dans des maisons à la ville civilisées. D’ailleurs, Loti observe que ‘Sans le léger tatouage de son front, sur lequel les autres la raillaient et que moi j'aimais, on eût dit une jeune fille blanche.’ (p.127) La disparition des tatouages, symbole de leur tradition, souligne que Rarahu a perdu sa sauvagerie et s’est transformées en une ‘jeune fille blanche.’ En outre, les actions des femmes Tahitienne subissent l’influence des Européens. ‘ [Rarahu] portait une toilette nouvelle, une belle tapa de mousseline blanche à traîne qui lui donnait fort grand air; elle faisait les honneurs de chez elle avec aisance et grâce, -- s'embrouillant un peu par instants, et rougissant après, mais toujours charmante.’(p.117) Dans cette scène, Rarahu accueille une grande réception chez elle pour célébrer leur déménagement dans la capitale. Les nouveaux vêtements de Rarahu, fait d’une fabrique étrangère, suivent l'esthétique et le style des Européens. Elle n’est plus la créature sauvage qui joue vivant dans la nature, mais elle s’est transformée en une maîtresse de maison comme une femme civilisée. Non seulement elle sert les invités, mais elle le fait avec ‘aisance et grâce,’ comme une véritable citadine. Sa sauvagerie, en revanche, est cachée. En somme, l’apparence et les actions des femmes ‘sauvages’ sont susceptibles de changer en direction de la culture civilisée.

Cette transformation des femmes n'intéresse pas les Européens, pour lesquelles le charme de Tahiti reste dans son primitivisme et son éloignement de la civilisation. En conséquence, les Européens, qui ont le regard colonial du rêve exotique, projettent cette image fantasmée sur les femmes et contraignent des femmes tahitiennes pour qu’elles restent ‘les petites sauvages.’ Cette idéologie contraint les actions des femmes à maintenir l’illusion. Au premier lieu, Loti met en garde Rarahu contre la civilisation : ‘Elle était assez civilisée déjà pour aimer quand je l'appelais


"petite sauvage", — pour comprendre que cela me charmait, et qu'elle ne gagnerait rien à copier la manière des femmes blanches (p.127).’ Loti complimente Rarahu avec le surnom ‘La petite sauvage.’ D'un côté, il signifie que son personnage sauvage est ce qu’il apprécie le plus chez elle. D'un autre côté, il souligne que des éléments européens n’est pas ce qu’il aime, et donc elle devrait se garder contre ces influences. Il lui déconseille ‘de copier la manière des femmes blanches’ et l’encourage à continuer à être ‘la petite sauvage.’ En position de domination, en tant qu'un mari et un colonisateur, il a le pouvoir de non seulement influence ce qu’elle doit penser, mais encore de contrôler ce qu’elle fait. Avant de partir pour l’Europe, Loti dit à Rarahu ce qu’elle doit faire après son départ : ‘ Va, loin de cette ville de Papeete; va vivre avec Tiahoui, ta petite amie, dans un district éloigné où ne viennent pas les Européens (p.199).’ Loti demande à Rarahu de vivre dans une île primitive dans l’intention de la séparer de la civilisation. D’une part il souhaite qu'elle jette les mauvaises influences des Européens ; d’autre part il espère qu'elle peut retrouver ses caractères exotique et sauvage dans la nature, comme les femmes dans son rêve. En somme, lorsque les indigènes subissent la transformation vers la civilisation européenne à cause du colonialisme, les colonisateurs limitent les femmes pour qu’elles restent ‘naturelle’ et ‘sauvage’ et pour garder toujours leurs propres rêves exotiques.

Nous avons vu que les apparences et les caractères des femmes coïncident avec l’image de Tahiti exotique et sauvage. Quoique les similarités entre la réalité et le rêve, les femmes divergent du fantasme à plusieurs égards. Les apparences et personnages sont sous l’influence des Européens. En ayant le rêve exotique, les colonisateurs projettent cette image fantasmé sur les femmes et les obligent à rester ‘les petites sauvages.’ Afin de garder le rêve des colonisateurs, les colonisés sont forcés de préserver leur innocence et de s’éloigner de la civilisation. En


conclusion, il est vrai que les Tahitiennes ont des aspects d'exotisme, mais la sauvagerie est construite et forcée sur les femmes pour garder le rêve des Européens.

Le Mariage de Loti est un roman semi-autobiographique du 19e siècle qui détaille la rencontre de Loti, un marin français, et de Tahiti, une île colonisée qu’il fantasme toujours comme la destination de tous ses rêves. Pendant son séjour sûr l’île, il approfondit sa connaissance de la culture tahitienne par sa relation avec Rarahu, une jeune femme indigène, dont il tombe amoureux. ‘La petite sauvage,’ surnom donné par Loti à Rarahu, démonte le sentiment de Loti qu’elle incarne toutes les caractéristiques primitives et curieuse de Tahiti. Mais, est-ce que la sauvagerie est le véritable caractère de Rarahu? Ou est-ce que c’est seulement l’imagination de Loti, influencée par son rêve exotique et mystérieux de Tahiti ? On peut observer que les colonisateurs voient les femmes de Tahiti comme les créatures aimantes qui symbolisent Tahiti. C’est à travers elles qu’ils veulent accéder à cette culture ancienne et mystérieuse. Mais, on va voir que l’image des Tahitiennes anciennes et mystérieuses est créée artificiellement par le regard des colonisateurs. Les femmes doivent correspondre à cette impression fixe de Tahiti : barbare et belle, et surtout, ‘naturelle.’ Sinon, les colonisateurs les contraignent à retrouver ces caractères. Premièrement, on voit que les femmes tahitiennes ont des éléments qui évoquent le passé mythique. En mème temps, les femmes ne restent que les créatures dans la nature, elles développent des aspects civilisés. Finalement, on voit que le rêve est projeté sur les femmes par les colonisateurs et que la sauvagerie est construite.

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